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© Dominique Tcherdyne 2004 - dtcherdyne@bluewin.ch

     

Clendy va accueillir deux catégories d’enfants : de petits pauvres qui reçoivent une bonne instruction et sont initiés aux travaux manuels et domestiques afin de les rendre capables de bientôt travailler. La seconde est formée de jeunes gens pauvres, filles et garçons, doués, qui ont déjà suivi une école, et qui deviendront des maîtres et des maîtresses pour la campagne.

On y enseigne le français, l’allemand, le chant, l’arithmétique, les langues anciennes, les travaux de la maison et du jardin. Pestalozzi sera secondé par Marie Schmid, sœur de Joseph, enseignant et administrateur du château.

 

Par l’arrivée  d’Anglais à Yverdon qui sont à la recherche d’un modèle d’école idéale, par les visites de nombreux curieux, enseignants, chercheurs, la maison de Clendy prendra un caractère différent. Pestalozzi se sentira obligé de modifier le programme originel et devra introduire l’anglais. De plus, l’absence du pédagogue au château provoque le mécontentement de parents d’élèves. D’autre part cette institution est une charge financière supplémentaire.

Après un an d’activité, Clendy ferme ses portes  et les écoliers et écolières rejoignent ceux du château.

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