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© Dominique Tcherdyne 2004 - dtcherdyne@bluewin.ch

     

Toutes les expériences de vie et celle éducative du Neuhof peuvent paraître négatives. Mais pour Pestalozzi elles seront le ferment de ses écrits. Il oriente alors sa pensée sur les problèmes d’éducation et d’instruction et se consacre à l’écriture, car dit-il : Sans culture la liberté est un privilège dangereux. Et dans le marécage de la misère l’être humain ne devient pas un homme. » Déjà connu et sollicité, il publie de nombreux articles, pamphlets d’ordre pédagogique, social et philosophique dans plusieurs revues.

 

Son roman Léonard et Gertrude (1781-83), chronique campagnarde,  avec ses bonheurs et ses malheurs, ses personnages bons, mauvais ou méchants, sa misère et sa richesse, aura un retentissement européen. Il est traduit en 1783 déjà et publié en langue française à Lausanne.

Avec le mémoire Sur la législation et l’infanticide (1783), Pestalozzi analyse le problème de la misère qui conduit parfois une mère à tuer son enfant, les lois inadaptées et l’hypocrisie de la société. Pour Pestalozzi, l’éducation est le seul remède.

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